Plage sauvage du Mogod 2024

Lundi 5 août à 5h30 nous attendons le car prêt pour une sortie de 3 jours.
Il s’en est fallu de peu que cette sortie passe à la trappe pour nous; dans ma tête tout était organisé pour un départ mardi.
Merci au président de nous avoir téléphoné dimanche soir.
Le premier arrêt tout simplement dans un relais sur l'autoroute pas loin de Béja.

 

Le petit déjeuner terminé nous repartons en direction du barrage Elbarrak.

La terre noire de la région de Béja et la ville en arrière plan.

 

Nous devrions voir de l'eau ; on la distingue à peine au pieds du vallon. Le barrage s'assèche de plus en plus.

 

 

Arrivée au barrage Elbarrak; même constat.

Photo de gauche en 2022 l'eau arrive presque au niveau du trop-plein. Photo de droite en 2024 l'eau n’atteint même plus le trop-plein.

 

 

Le car contourne cet ouvrage d'art et nous rapprocher de la plage Zouaraa.

Pour arriver aux parasols du bord de mer il nous reste une petite marche le long de Halk El Oued

Ce n'est pas la première fois que nous passons la journée sur cette plage et comme d'habitude la mer y est sauvage, mais aujourd'hui quand même accessible.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sinon nous pouvons tjs nous baigner dans l'eau douce de halk eloued .

A noter qu'il y a de grands panneaux "baignade interdite".... mais moi je ne sais pas lire l'arabe.... et il n'y a pas que moi.

 

 

Les dames chantent et "les enfants" domptent un cerf-volant

 

 

 

Tout comme l'année précédente le déjeuner est concocté dans une baraque et nous est livré par des jeunes sans style mais sympa.

 

 

La journée se termine doucement, une petite marche en sens inverse et nous retrouvons le bus qui nous amène à l'hôtel.

 

Nous commençons à être des habitués de l'hôtel mais mieux encore de la chambre également.... pour nos 3 séjours nous avons eu 3 fois la même chambre ; peut-être vais je écrire un livre..."les habitués de la chambre..." !!!!

 

 

Jour 2

 

Après le petit déjeuner, nous repartons vers le barrage; un transport local, nous prendra en charge…. transport local ???? 4x4, mulets, taxi....

 

Ce sont des minibus. Nous nous installons le mieux possible et en avant pour l’aventure.

 

 

 

Le parcours : une piste parfois de sable, parfois en béton, souvent très étroite, de belles montées et de belles descentes mais toujours un paysage à couper le souffle. Après quelques km, le minibus nous dépose.

 

 

Le reste est à faire à pied .

Au fur et à mesure de la descente les choses deviennent plus ardues. Au passage je remercie ma très chère “Docteur Kelthoum” qui m’a bien aidée.

 

Le balisage est simple… suivre la ligne électrique.

 

Une jolie rencontre avec des autochtones. Elles transportent l'eau depuis une source ; au niveau de la mer ; jusqu'à leur habitation . Elles proposent gentiment de nous faire profiter de cette eau si durement transportée.

 

 

Arrivé à bon port il ne reste qu’à profiter de cette splendide plage.

 

Le repas restera un souvenir particulier …. à coup sur le resto n’est pas étoilé.

Non seulement pour être servi il fallait faire la queue devant le BBQ, mais tout le monde n’a pas eu la chance de manger.

 

 

Il est temps de penser au retour…. il nous faut remonter; pas le choix.Le président jamais à cours d’idées; nous donne la possibilité de retourner en bateau via la plage visitée hier. 

Je choisis la montée, bien aidée par mon époux nous arrivons au rendez-vous des minibus.

 

Le parcours de retour est tout aussi folklorique que l'aller nous passons sous l’arcade… ouf le plus dangereux est derrière nous. 

 

 

Nous attendons nos compagnons de voyage à l'ombre du barrage.

 

Ce soir il y a de l’ambiance à l'hôtel, les dames s’en donnent à coeur joie .

Nous aurons aussi l’occasion de fêter l’anniversaire de l'une des membres .

 

 

Jour3

 

Le dernier jour…

Nous embarquons les bagages direction la plage de Berkoukech, elle se situe non loin de Tabarka.

Un passant particulier 

 

 

Nous rentrons dans les forets de chênes 

 

 

Accessible en voiture; mais pas avec notre bus.

Il ne nous reste qu’à y descendre à pied, c’est facile une route de béton sans surprise. 

 

La plage est encore une fois parfaite et nous en jouissons sans modérations .

 

 

Cette fois tout le monde aura son repas, après le thé, il faut penser au retour.

 

 

Direction Tabarka pour le café-récap. 

 

 

Il faut se dépêcher pour rentrer à Nabeul et éviter les soucis de pression d’eau lors de la douche.